Jérémy Gobé, Galerie Odile Ouizeman, Paris. Jusqu’au 18.01.2017
« En portant secours aux objets et aux matériaux textiles dont la production est stoppée, Jérémy Gobé soigne et répare une mémoire individuelle et collective, privée et publique. Il surpasse la blessure et l’abandon pour donner vie à de nouvelles entités, captivantes et étranges, régies par un élan vital », écrit Julien Crenn. En effet, l’artiste invente...