Corinne Mercadier, Le corps de l’infini, Paris, galerie Les Filles du Calvaire, à partir de septembre.
Un petit atelier dans son appartement. Corinne Mercadier entasse ses trésors sur des étagères, dans des tiroirs, des boites démultipliées dans sa pièce haut perchée. Doucement. Conscienseument. Précieusement, un à un, l’artiste dévoile ses petits chefs-d’oeuvre qui l’accompagnent depuis de longues années déjà. Une échappée belle en crayon. De ces crayons Rougier et Plé qu’elle...