Ernest Pignon-Ernest, “Emportez moi, enfouissez moi”, Paris, galerie Lelong, du 16/01 au 25/03/14; Malakoff, Maison des Arts, du 25/01 au 30/03/14
En génial sismographe, dans la virtuosité de son geste, l’artiste arrive à cerner les traits de la mort. Oui, la mort. Ainsi, son oeuvre, toujours, dans sa puissance et sa sensibilité, sa fragilité, frôle le sublime. Dans les années 90, j’étais allé, à la demande de certains détenus de la prison Saint-Paul à Lyon, animer quelques...